FARM PARADISE le gîte de la joie
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FARM PARADISE le gîte de la joie

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 Une valse d'entrée, deux pas en avant, un en arrière...

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Satsuki Amano
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Satsuki Amano


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MessageSujet: Une valse d'entrée, deux pas en avant, un en arrière...   Une valse d'entrée, deux pas en avant, un en arrière... Icon_minitimeMer 4 Juil - 22:36

Je suis arrivée on dirait. La porte est là, en face. Je soupire doucement, le bâtiment principal semble vaste, et je sais que dès mon entrée dans mon nouveau chez moi je regretterais de ne pas être restée dehors, à attendre que le temps passe. Que maman revienne me chercher. Rester dehors, à admirer ces paysages, à conserver dans un coin de ma mémoire comme dans un vieux livre poussiéreux ces superbes images offertes à mon esprit, des instants d'éternité collés sur le papier de mes souvenirs. Mais j'ai le temps encore. Il me reste encore cinq de mes plus belles années à vivre ici. A espérer voir apparaitre la berline anglaise de ma mère, dont la portière arrière droite est signée du vendeur, comme une dédicace. Un véhicule d'une valeur inestimable, vu qu'il s'agit d'une série ultra limitée. Je rouvre mes yeux qui s'étaient fermés sur des pensées heureuses de ma vie, et inspire un grand coup. Trois, deux, un, je rentre !

Je me dirige lentement vers la porte, traînant derrière moi une valise et de l'autre main tenant la cage de mon jeune chat, Makoto. Sur mon épaule est accroché un sac noir à bandoulière, pour mes petites affaires perso. L'essentiel de ce dont j'ai besoin est dans ma valise, qui est à vrai dire énorme. Makoto miaule de plus en plus fort, il n'a jamais aimé les 'transports en commun' comme je me plais à appeler sa boîte de trajets. Il est encore très jeune, un vrai p'tit chaton peureux. Je le rassure d'un léger "chhht mon bébé" et je frappe quelques coups à la porte, attendant une ou deux secondes. Je rentre alors, poussant la lourde porte de bois ciré et finement ouvragée. Je dois avouer que le décor est superbe, cette fermette est magnifique. C'est un parquet de bois qui me parait être d'acajou qui couvre le sol de la pièce, il frémit en craquant légèrement sous mes pas. Il brille, et un épais tapis persan est étalé devant un immense comptoir. Tout à l'air d'être en bois, la scène où je vais déclamer mes prochaines années est vraiment jolie. Je reste un instant sans voix en observant autour de moi. Seul le ronronnement assagi de Mako perce le silence de la pièce. J'entrevois une cheminée que je détaille un peu plus. Du feu crépite dans son antre. Il n'y a pas beaucoup de bois, c'est sûrement parce que il n'y a pas vraiment besoin de chauffer, ce doit être pour la décoration. Je m'avance de nouveau, allant timidement vers le comptoir. Il y a trois chaises derrière, elles sont vides, je dois arriver juste à la pause, j'ai jamais eu de chance à ce jeu là. Je pose la main sur la haute table boisée, et je tapote gentiment dessus.

Une jeune femme arrive, elle me parait bien jeune et je lui souris. J'ai posé un peu plus loin derrière moi mes bagages plutôt encombrant, je n'ai que mon chaton avec moi, dont le bruit de locomotive ne doit pas être d'une discrètion intense, car il couvre même la musique de fond, que les réceptionistes doivent écouter pour se détendre. Un doux son de classique, du Schumann peut être. Ou du Chopin... J'ai du mal à discerner puisque je n'y fais pas réellement attention. La nouvelle arrivante me regarde et me sourit elle aussi, elle doit faire partie de l'acceuil, me voila rassurée, je ne suis pas délaissée en plein milieu de cet endroit inconnu. J'incline un peu le haut de la tête dans un salut respectueux avant de commencer par dire :

"Bonjour, je suis la nouvelle venue, de la part de Madame Sakureïle. Je crois qu'elle vous a signalé Mademoiselle Sakureïle sur le registre..."

Je suis un peu gênée de déballer tout ceci d'une seule traite, mais à vrai dire je ne veux pas et ne peux pas laisser de blancs s'installer. Je serais un peut trop mal à l'aise. Et j'ajoute d'une petite voix feutrée, pourtant ferme et décidée :

"Je voudrais savoir, j'espère que mon chaton ne dérangera pas, il restera dans ma chambre il a l'habitude des espaces réduits. Mais je pouvais pas le laisser seul dans l'appartement vous comprenez..."

Pour être honnête, personne n'aurait pu me séparer de mon chaton, ce cadeau d'il y a deux mois, auquel je suis terriblement attachée. J'attends sans aucune anxiété la réaction de la dame, de toutes façons, il est trop tard pour qu'elle me demande de le laisser, l'avion de maman a déjà décollé depuis un certain temps...
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Suzanne Mansfield
Héritière en vacances forcées
Suzanne Mansfield


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MessageSujet: Re: Une valse d'entrée, deux pas en avant, un en arrière...   Une valse d'entrée, deux pas en avant, un en arrière... Icon_minitimeJeu 5 Juil - 11:02

Suzanne avait envie de se dégourdir les jambes car cela faisait maintenant quelques jours qu'elle se remettait de son malaise dans sa chambre. Chambre qui d'ailleurs était très jolie et bien décorée. Suzanne avait laissé son côté petite fille bourgeoise de côté et cela se passait mieux maintenant avec la directrice et son adjointe. Elle s'était excusée de son comportement et leur avait donné des explications et ces deux gentilles jeunes femmes avaient accepté son histoire et ses excuses. Suzanne trouvait qu'elle avait eu beaucoup de chance de les rencontrer et avait appelé ses parents pour les remercier de l'avoir envoyé au gîte.

Là, elle avait envie d'aller visiter les environs du gîte et Madoka et Mandy lui avaient dit qu'elle pouvait même faire des balades à cheval. Suzanne avait sauté de joie rien qu'à l'idée de pouvoir remonter à cheval. Elle qui adorait ça. Quand elle avait une dizaine d'années, elle avait participé à des concours hyppiques et, même si elle n'avait pas gagné, elle avait adoré la sensation de liberté qu'elle éprouvait en montant à cheval.

Elle s'habilla en tenue de cavalière et comença à descendre allègrement les escaliers. Lorsqu'elle arriva en bas, elle avait déjà le sourire aux lèvres et voulait dire aux filles (comme elle les appelait) qu'elle allait sortir à cheval. Mais, ce ne furent pas Mandy et Madoka qui étaient à l'accueil mais une jeune fille qui lui sembla perdue au premier abord. Son sourire ne la quitta pas et elle se prépara à aller lui dire bonjour mais celle-ci la devança et se lança dans une tirade :

Citation :
"Bonjour, je suis la nouvelle venue, de la part de Madame Sakureïle. Je crois qu'elle vous a signalé Mademoiselle Sakureïle sur le registre..."

Elle voulut répondre mais la demoiselle n'avait apparemment pas fini car elle ajouta alors :
Citation :

"Je voudrais savoir, j'espère que mon chaton ne dérangera pas, il restera dans ma chambre il a l'habitude des espaces réduits. Mais je pouvais pas le laisser seul dans l'appartement vous comprenez..."

Là, Suzanne faillit éclater de rire mais, devant l'air de la jeune fille elle se dit qu'elle n'avait pas l'air rassurée du tout et qu'à la moindre boutade ou phrase mal placée, celle-ci s'enfuirait rejoindre sa famille en courant. Ce fut d'une voix douce et toujours sourire aux lèvres qu'elle lui répondit :

- Bonjour mademoiselle, je m'excuse mais ce n'est pas à la bonne personne que vous vous adressez pour votre inscription. Les deux jeunes femmes qui s'en occupent ne doivent pas encore être revenues de la ferme où elles sont pour nourrir les animaux. Je suis Suzanne et une pensionnaire du gîte aussi. Mais si vous voulez je peux les attendre avec vous, comme ça vous ne vous sentirez pas trop seule! Quand à votre chat, je sais que Madoka a un chien qui se nomme Malibu et je ne pense pas qu'elles vous diront quoi que ce soit à propos de votre petit bout de chou! Mandy et Madoka adorent énormément les animaux et je ne pense pas qu'elles vous disent de le rendre chez vous.

Suzanne trouva qu'elle aussi avait retrouvé son envie de papoter mais, pas pour se protéger mais parce qu'elle adorait ça en fait. Elle espérait que la nouvelle arrivée n'aurait pas pris peur et qu'elle accepterait de rester en sa compagnie. Puis, elle entendit un jappement au loin.

* Ah? Malibu serait-il de retour? Alors les filles ne vont pas tarder. *
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Madoka Yuki
Directrice Adjointe - Admin
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Madoka Yuki


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MessageSujet: Re: Une valse d'entrée, deux pas en avant, un en arrière...   Une valse d'entrée, deux pas en avant, un en arrière... Icon_minitimeJeu 19 Juil - 18:41

Madoka terminait donc sa promenade relaxante et rentrait à pied vers le gîte. Il devait n'y avoir personne pour accueillir les nouveaux arrivants : *et avec ma chance habituelle, à tous les coups il y a déjà quelqu'un qui m'attend !*. A peine avait-elle fini de penser ces mots que la jeune femme vit une voiture s'éloigner de l'entrée du gîte, levant un nuage de poussière derrière elle. Madoka maudit sa mauvaise étoile et pressa un peu plus le pas.

La journée avait mal commencé, et apparement la tendance n'était pas prête de s'inverser ! Madoka était presque arrivée au bout de l'allée qui passait devant l'entrée du gîte alors elle arrêta de courir : ça ne faisait pas professionnel d'arriver en retard, certes, mais arriver en nage et à bout de souffle c'était encore pire ! Alors Madoka marcha jusqu'à l'accueil, arrêta son baladeur et retira les écouteurs de ses oreilles. Malibu trottait quelques mètres devant elle, aboyant pour l'inciter à marcher plus vite.

« Oui oui j'arrive, laisses-moi une minute que je reprenne mon souffle un peu. Je te rappelle que, même si mes jambes sont plus grandes que tes pattes, tu en a 4 et moi seulement 2 !! » fit Madoka à l'adresse de Malibu, déjà assis sur les premières marches juste devant l'accueil.

Il était tourné vers l'intérieur, et visiblement il y avait quelquechose de très interessant : les oreilles dressées vers l'avant, la gueule fermée et la queue battant l'air. De temps en temps il jetait un regard à sa maîtresse qui s'approchait, comme pour lui dire ''viens voir ce que j'ai trouvé, c'est bizarre !!''

Lorsque Madoka arriva enfin à la hauteur de son chien, elle lui gratta le sommet du crâne du bout des doigts et regarda à l'intérieur de la pièce. Ses yeux mirent quelques secondes à s'accoutumer à la différence de luminosité. *pourtant la salle est plutôt lumineuse... mais c'est vrai qu'il fait un soleil magnifique aujourd'hui...* Madoka vit alors deux personnes debouts en train de discuter : l'une d'elle était la demoiselle Mansfield. L'autre était une jeune femme très belle, qui tenait quelquechose dans ses bras. Madoka avança dans la pièce, contournant une énorme valise, un sourire plaqué sur son visage.

« Bonjour Suzanne ! Vous allez bien depuis hier soir ? Je vois que vous m'avez remplacée pour accueillir cette charmante demoiselle... et cet adorable chaton ! Merci !» dit la jeune femme en regardant Suzanne puis la nouvelle arrivée.

Elle avait une petite boule de poil à peine plus grande qu'un caneton entre les mains, contre sa poitrine. Maintenant que Madoka s'était rapprochée, elle entendait le ronron du petit chat.

« Bonjour et bienvenue Mademoiselle. Je suis Madoka Yuki, directrice adjointe de ce petit coin de paradis... mais vous pouvez m'appeler Madoka, j'ai toujours détesté qu'on me donne du ''mademoiselle'' ^^ Maintenant je comprends mieux pourquoi mon chien était si intéressé par ce qui se passait à l'accueil ! Il avait du sentir votre petit chat... » ajouta-t-elle avec un sourire.

Puis elle contourna le comptoir pour consulter le registre. « Malibu, au pied ! Viens dans ton panier de suite. Et ne fais pas peur à ce mignon petit chaton sinon tu es privé de repas ce soir ! » ordonna la jeune femme à son chien qui était encore assis sur les marches. Il s'avança alors, penaud, la tête basse et la queue entre les pattes, puis il se roula en boule dans son panier. Il jeta un regard à sa maîtresse puis il fixa le chaton dans les bras de la nouvelle venue. Madoka lui lança alors une croquette qu'il avala d'une bouchée et reporta son attention sur le registre ouvert sur le comptoir.

« Alors, je vous écoute mademoiselle : vous aviez réservé une chambre avant de venir ou pas ? »
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Suzanne Mansfield
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Suzanne Mansfield


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MessageSujet: Re: Une valse d'entrée, deux pas en avant, un en arrière...   Une valse d'entrée, deux pas en avant, un en arrière... Icon_minitimeDim 30 Sep - 19:11

Vu que la jeune femme ne répondait pas de suite et semblait timide, Suzanne prit les devants et répondit à Madoka :

- Cette jeune demoiselle vient de la part de Madame Sakureïle. D'ailleurs, c'est Mademoiselle Sakureïle.

Elle attendit que Madoka feuilleta le registre et continua alors :

- Madoka s'il-vous-plaît, est-ce que vous pourriez nous mettre dans des chambres côte à côte? Je lui ferais visiter les environs et cela vous laissera un peu plus de temps pour vous occuper des autres tâches que vous avez sûrement à faire. Mademoiselle Rainbow est passée tout à l'heure ventre à terre pour aller à la ferme aider à mettre bas une des vaches de l'étable. Elle m'a dit de vous le signaler et qu'une autre paire de mains voire plusieurs ne seraient pas de refus. Voulez-vous de l'aide en plus?


Rien ne pouvait rendre Suzanne heureuse que de pouvoir aider les gérantes de Farm Paradise. Donc, si Madoka la laissait s'occuper de la nouvelle arrivée, elle le ferait de même que si elle l'envoyait aider Mandy à l'étable, même si elle n'y connaissait rien.
Elle se remit alors à côté de la nouvelle arrivante et joua avec le chaton qui ronronnait toujours dans les bras de sa maîtresse.
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Satsuki Amano
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Satsuki Amano


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MessageSujet: Re: Une valse d'entrée, deux pas en avant, un en arrière...   Une valse d'entrée, deux pas en avant, un en arrière... Icon_minitimeMer 17 Oct - 23:39

J'étais intimidée par la jeune fille, qui discutait pourtant avec aisance. Elle semblait être une habituée des lieux, et ses manières ne cachaient en rien ses origines. Pas maniaque mais élégante dirais-je. Son débit verbal me surpris et me coupa le sifflet, m'empêchant de reprendre la parole. J'étais ravie cependant que ma petite boule puisse rester avec moi. C'est alors qu'une autre dame entra, visiblement la gérante, qui semblait plus agitée. Je lui souris, toujours timide, et lui répondis d'une petite voix, complètement perdue dans l'organisation, n'ayant pour seul repère que les miaulements réguliers de Makoto, qui tentait maladroitement d'escalader mon épaule.

"Oui, Maman avait réservé. Je suis Satsuki."

J'étais réchauffée par son acceuil chaleureux, moi qui craignait des règles rasoires et deu personnel sans âge et complètement insensible. A croire que je me faisais des films. D'ailleurs, ma surprise n'en restait pas là, la jeue fille prénommée Suzanne pris les devants pour me présenter à nouveau avant de recommencer à bavarder. Je tentais de ne pas avoir l'air abasourdie devant tout cet enchainement d'actions, et me reprenait, récupérant Mako qui avait fini par venir jouer avec mes cheveux. Je le remettais en place, a savoir, dans mes bras. Il n'avait regardé le chien Malibu que quelques secondes, le temps de cracher pour la forme avant de recommencer son cirque. Pas traumatisé l'animal.

Je me mêlais à nouveau à la conversation, pour entendre dire que l'une des vaches devait mettre bas. Je ne suis absolument pas hémophile, mais m'imaginer la scène était au dessus de mes capacités, et j'ignorais cette partie pour l'instant, j'avais mon quotat d'émotions pour l'instant. J'étais contente que Suzanne veuille bien de moi près de sa chambre, et j'étais ravie de me savoir encadrée. Tout baigne. Elle se rapprocha de moi pour taquiner Makoto, qui se retourna et tenta d'attrapper ses doigts du bout de ses pattes d'encre, louchant sur sa cible qu'il manquait. Deux de tension si je puis dire, il manquait de réactivité. Je souris et le tendis à la jeune fille. Le chaton noir ne se fit pas prier et grimpa dans ses mains. Il ne voulait pas aller au sol car il savait le chien pas si loin que ça. Mais se faire des amis était un de ses objectifs. Je me tournais vers la gérante pour lui dire:

"Ce serait gentil de bien vouloir me mettre à côté de... Suzanne. Je veux bien vous aider si besoin"
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MessageSujet: Re: Une valse d'entrée, deux pas en avant, un en arrière...   Une valse d'entrée, deux pas en avant, un en arrière... Icon_minitime

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